Alexandre Marois

Membre chercheur associé

• Professeur adjoint, École de psychologie, Faculté des sciences sociales, Université Laval

Regroupements thématiques

• Santé durable
• Industrie 4.0, travail et emploi
• Éducation et capacitation

Alexandre Marois est professeur à l’École de psychologie de l’Université Laval depuis 2023. Il est également chercheur invité à la School of Psychology and Humanities de la University of Central Lancashire à Preston, Royaume-Uni, membre chercheur associé de l'Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'IA et du numérique (Obvia) et chercheur collaborateur à l'Institut intelligence et données (IID). Il a complété un doctorat en psychologie à l'Université Laval et a obtenu le prix de la meilleure thèse de la Faculté des sciences sociales. Il a effectué un stage postdoctoral au laboratoire Co-DOT de l'Université Laval en 2019. De 2020 à 2023, M. Marois a occupé la fonction de chercheur industriel en facteurs humains et cognition, jouant un rôle critique dans la recherche, le développement et le transfert technologique de solutions visant à soutenir les domaines opérationnels à fortes demandes cognitives en exploitant différents outils liés à l'intelligence artificielle (IA), aux neurosciences cognitives et à l'informatique affective pour appuyer la prise de décision et prédire l'état psychoaffectif des individus.

M. Marois a développé une expertise dans une foule de domaines comme la psychologie cognitive expérimentale, les facteurs humains, les neurosciences cognitives, la psychophysiologie, la neuroergonomie, l’augmentation cognitive et l’interaction humain-machine. Ses recherches académiques portent présentement sur une variété de sujets incluant l’interaction entre humains et agents intelligents, l’identification et le soutien des limites cognitives dans les situations appliquées, incluant les domaines à haut risque, ainsi que la caractérisation et la résistance à la complexité cognitive en situations réelles.

Projets de recherche

• IndustrIA : comprendre et orienter les usages éthiques de l’IA dans l'industrie 4.0